J'ai eu l'immense privilège que tu me considère comme ton amie, ta soeur.
J'ai reçu il y a seulement quelques jours ton dernier cadeau, j'avais commandé Kafka sur le rivage pour toi, parce que j'étais sûre que tu l'adorerais. J'allais te l'envoyer cet après-midi. Et j'ai appris ce matin que tu nous a quittés.
Je suis très malheureuse, hermanita. Tu me manques déjà immensément, tu me manqueras tant que je serai vivante. Et tu vivras encore un peu en moi tant que je serai vivante.
Tu sais, Marie a beaucoup de peine aussi.
Je voulais te dire adieu, alors, comme tu aimais mes photos, je t'ai fait ce diaporama.
Avec uniquement des animaux, querida...
Et pas de musique triste pour toi, jamais!
Je t'aime hermana.
Ton Flocon, tu lui manques aussi...